Physique : Grande, mince, élancée, blonde aux yeux bleus. Ses doigts sont constamment rouges et irrités, presque à vif, en raison de sa manie qui consiste à se laver les mains continuellement. Ses ongles sont toujours d’une propreté impeccable même lorsqu’elle les ronge puisqu’elle lance chaque mois un sortilège sur leur surface, évitant ainsi qu’ils ne s’abîment à cause de son toc.
Son Toc (Trouble obsessionnel compulsif ) : Elle aime que tout soit ordonné, propre et bien rangé. Les mains la dégoûtent en raison des microbes qu’elles transportent et elle a toujours une petite bouteille de désinfectant moldu sur elle. Ce n’est pas une petite manie, c’est une véritable phobie, qui sera soumise à un deuxième test, en plus de celui attribué aux reprises, si ce n’est pas assez présent dans la fiche.
Passé : Parents d’origine Russe - Fortunés - Son père a fait fortune dans l’immobilier - Sa mère est une femme au foyer à tendance bourgeoise + Libre
Elvira a été élevée pour devenir un petit rat de l’opéra, une danseuse classique. Astreinte à un régime draconien, contrainte à des heures et des heures d’entraînement intense, sa mère était constamment sur son dos, à tout contrôler, de ses pointes à son poids. Elvira a d’ailleurs gardé de cette époque, un comportement pour le moins compulsif avec la nourriture.
Autant dire que la lettre de Poudlard est venue contrarier les projets de Madame Molkinov pour sa fille. Pour la mère d’Elvira, la magie n’est que déviance malsaine et elle s’est appliquée à bien le faire sentir à la petite fille.
Poudlard a presque été synonyme de délivrance pour Elvira, même s’il n’a pas été facile de s’adapter à ce nouveau monde. Elle découvre aussi l’intolérance de certains, envers ceux qu’ils nomment d’un gracieux « sang-de-bourbe ».
Ses liens :
Le personnage d’Elvira a déjà été joué et a de nombreux liens importants, dont il faudra tenir compte. Merci de prendre contact avec les personnes concernées, pour plus de renseignements. Andrew Rosebury, son meilleur ami.
Ils se sont rencontrés pour la première fois à un concert de musique baroque où leur mère respective les avait traînés de force. Andrew avait neuf ans, Elvira huit. Par hasard, leur siège était côte à côte et ils avaient discutés, totalement désintéressés de ce qui se passait à l’avant. À un moment, Andrew avait proposé qu’ils se sauvent en prétextant une envie pressante. Dix minutes plus tard, ils se promenaient dans le théâtre en riant. Ils se sont revus à quelques reprises, Andrew proposant toujours des plans plus ou moins foireux, jusqu’à ce que la mère d’Elvi en vienne à craindre l’impact qu’il pourrait avoir sur sa fille si sage. Elle s’est donc arrangée par la suite pour éviter les évènements où la famille Rosebury se rendait.
À Poudlard, ils se sont de nouveau croisés, cette fois pour ne plus se lâcher. Andrew sait qu’Elvira n’a pas toujours été aussi coincée et à travers les années, il a tout tenté pour qu’elle lâche un peu la bride. Il n’hésite pas à être direct avec elle et de lui parler de ses TOCS, essayant de l’aider à s’en ‘’guérir’’.
- Extrait d'une des tentatives d'Andrew pour l'aider:
« Andrew…»
Elle lui faisait confiance mais cette fois, c’était trop lui demander. Cette pièce poussiéreuse, ces bouquins en désordre répandus un peu partout et cette odeur rance de pourriture lui donnait simplement envie de s’enfuir en courant. Son ami resserra ses doigts contre les siens, caressant sa paume de son pouce dans un geste apaisant.
« Trente minutes, Elvi. Tu vas y arriver… Pense à quelque chose de joyeux, comme ces nouvelles figures que tu voulais essayer…»
« Tu ne seras même pas avec moi pour t’entraîner. »
« Poser trois lapins de suite à une fille, c’est un peu abuser…»
« Pas si elle n’a aucune importance. Tu comptes la marier et lui faire des enfants? »
« Trop tard, pour la seconde option…»
« Tu rigoles? »
« On est arrivé. »
Derrière une étagère crasseuse, deux énormes coussins étaient posés sur le sol. Elle grimaça, se retenant pour ne pas vomir. Sale…tout ça était si sale… Comme s’il saisissait ses pensées, Andrew la fît pivoter pour la diriger vers le premier coussin, un sourire aux lèvres. Alors qu’elle s’asseyait en se demandant ce qu’il avait vraiment fait avec la petite poufsouffle, elle se dit qu’il n’y avait décidément que lui pour parvenir à lui faire prendre place sur un objet aussi répugnant.
C’est son meilleur ami, celui qui lui permet d’oublier pendant un court moment ses manies. Il essaie toujours de la dérider un peu, de la pousser à s’amuser et profiter de la vie. De son côté, il ne se gêne pas trop mais en règle générale, il évite de lui parler de ses conquêtes puisqu’Elvi lui sert alors toujours la même litanie concernant les maladies transmises sexuellement. Par contre, lorsqu’il est profondément agacé ou qu’ils se disputent, il n’hésite pas à lui parler de ses dernières aventures, simplement pour la faire un peu enrager. Ils se chamaillent souvent pour des riens, mais ils reviennent toujours l’un vers l’autre.
Aaron Howell, une obsession étrange.
Tout est d’abord parti d’un pari, entre eux, sur le terrain de Quidditch. Ou est-ce qu’en réalité, cette bizarre obsession qu’elle nourrit pour lui, date du jour où elle l’a surpris, lui, avec Lucy Weasley dans une position pour le moins… Equivoque ! Sous couvert de vouloir aider Iona, son amie Serdaigle, à renouer avec grand frère si taciturne, elle multiplie les moments étranges avec Aaron. Sait-elle seulement où ça va la mener ? Et puis qu’est-ce qu’elle attend vraiment, de cette drôle de relation ?
Lucy Weasley, son cauchemar ambulant
Pas un seul garçon ne lui résiste, c’est la croqueuse d’hommes de Poudlard. C’est un autre qualificatif, qu’Elvira lui aurait donné, quant à elle, beaucoup moins poli. La Serdaigle a bien du mal à supporter cette fille, qui traîne autour de son meilleur ami Andrew et surtout, qu’elle a surpris dans la plus affligeante des positions, avec Aaron. Leur voyage commun dans le Poudlard Express, en route vers les vacances de Noël, aura terminé de mettre le feu aux poudres entre elles. Désormais, Elvira n’a plus qu’une seule idée en tête, se venger !
Roman O’Reily, son pire ennemi.
Tous les deux, ils n’ont jamais pu s’encadrer. Lui parce qu’elle est une sang-de-bourbe et Elvira… Parce qu’il est lui, tout simplement ! Les crasses, ils n’arrêtent jamais de s’en faire, mais cette fois, il a vraiment dépassé les bornes et elle est résolue à le lui faire payer. A n’importe quel prix ? En tout cas, elle en fait une affaire personnelle. Elle n’a rien d’une balance et le sort qu’elle lui réserve, elle veut s’en charger personnellement.